Comme tu l’as peut-être lu dans mon article précédent, je me suis récemment procurée Code 93. Et comme à chaque fois que je lis un Olivier Norek, je suis assez enthousiaste. Une fois encore, je n’ai pas été déçue !
Read moreAvant que le confinement soit annoncé, j’étais en arrêt maladie pour une petite crève sans gravité. Du coup, impossible pour moi de faire le plein de livres à la médiathèque (si tu as lu certains de mes articles, tu sais que je travaille en médiathèque). Mais j’ai eu du flair : le dernier samedi de liberté, je suis passée à la librairie de ma ville, où j’ai choisi sept bouquins. Dans cet article, je vais t’expliquer pourquoi ceux-là.
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Je n’ai jamais lu de livres de Sylvain Tesson. Jamais. Je n’ai même jamais été curieuse d’en consulter un. Mais après avoir fini toutes les BD qui me faisaient envie dans la dernière commande reçue à la médiathèque, je me suis laissée tenter.
J’ai découvert à cette occasion que Sylvain Tesson était parti vivre plusieurs mois dans une cabane dans les forêts de Sibérie, sur les bords du lac Baïkal. Cette BD nous en fait le récit, inspiré du récit paru chez Gallimard.
Ça fait un moment maintenant que je suis Lili Sohn. J’ai commencé avec La guerre des tétons, en trois volumes, que déjà, j’avais aimé. Puis vint Vagin Tonic, que j’ai adoré. Et maintenant, elle nous offre le génial Mamas – Petit précis de déconstruction de l’instinct maternel.
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Germano arrive à une gare, quelque part en Italie. C’est la canicule. Une grève de transports. Arrivé à son hôtel après avoir marché sous le cagnard, la chambre qu’il avait réservé n’est plus disponible. La personne qu’il devait retrouver ne lui donne pas de nouvelles. Il se retrouve coincé dans cet hôtel luxueux au milieu d’un parc sentant bon l’Italie, qui le soir venu sera à la fête, pour le mariage d’un homme qui s’avère être une vieille connaissance de Germano.
Il rencontre par hasard une femme, qui comblera un peu sa solitude. En fait, ils vont combler mutuellement leur solitude.
En gros, voilà le pitch. Je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre en lisant cette BD. C’est la renommée de l’auteur qui m’a fait ouvrir le livre.
L’année 2020 en est à ses balbutiements. Pourquoi ne pas vous présenter mes dix lectures préférées de l’année passée ? Alors ni une, ni deux, hop, je liste. Ça n’a pas été simple. Une fois m’être rafraichie la mémoire, je suis arrivée à douze livres. Douze ? Mais j’avais dit dix. Après une deuxième passe, le compte est bon !
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Vous avez certainement vu passer en 2017 (si je ne m’abuse) la BD d’Emma qui parlait de la charge mentale. Mais si, celle qui a été partagée, entre autre, sur les réseaux sociaux. Et bien aujourd’hui, nous en sommes au quatrième tome de la série Un autre regard. Des princes pas si charmants et autres illusions à dissiper ensemble est le dernier paru.
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Comme tous les ans, à la rentrée de septembre, j’essaie de lire quelques livres de la rentrée littéraire. Ça peut être uniquement pour le plaisir, lorsque le roman tant attendu est enfin là, ou dans le cadre professionnel. Cette lecture s’inscrit dans la deuxième catégorie. Je ne l’attendais pas, mais la quatrième de couverture me promettait monts et merveilles.
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Encore une fois, j’ai lu ce livre pour le boulot. Comme je m’occupe du fonds ado, je me suis dit qu’il était temps de m’attaquer à ce roman, salué par la critique et récompensé par le prix Vendredi en 2017. Si comme moi vous ne savez pas à quoi vous attendre avec ce roman, lisez la suite. Je vais m’employer à vous éclairer (mais pas trop quand même !).
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Hier je cherchais dans les rayons de la médiathèque des livres pour adolescents, à présenter lors d’une animation. J’en ai sorti trois : Par le feu de Will Hill, Big easy de Ruta Sepethys, et Un si petit oiseau de Marie Pavlenko. Des trois, c’est le seul que je n’avais pas lu. J’en avais entendu parler, et je me suis dit « allez, j’le tente, on verra bien ». Je dois vous avouer que je n’étais pas convaincue. Et pourtant…
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Poccampe (se) raconte 